samedi 4 janvier 2014

A very long journey... Francfort - Washington


Dans les airs jusqu'à Washington
Le voyage s'est très bien passé. J'avais à côté de moi un couple de retraités. Le mari lisait A Game of Thrones, elle, était sur sa Kindle. Des retraités américains plutôt jeun's... Ils m'ont aidé à compléter le document à donner à la douane.
Ils m'ont l'air bien accueillants et gentils ces américains (à voir par la suite)

 





Washington: Ca y est!
Après de longues heures de vol, je sais plus exactement entre 8 et 9, arrivée sur le sol américain. Mais je réalise pas trop encore.
Première étape pour les passagers en transit: passer par un bus bizarre avec de la moquette sur les murs, pour arriver à la douane. Un passager allemand me demande s'il y a un conducteur, merde, c'est vrai qu'on a vu personne, c'est bizarre ce truc...
En fait, à l'arrivée on a vu un chauffeur sortir de sa cabine. Puis on arrive à la douane, faut faire la queue, et là 3 millions de gens devant moi.
Je prie pour avoir le temps de prendre mon avion pour Raleigh. (2h c'est plutôt large, mais le temps s'écoule très vite, et on ne voit pas la queue avancer).
Ouf, je suis passée, et le guichet a fermé pile poil derrière moi.
Les agents de la douane américaine sont très accueillants et super sympas.
Bon aller, il me reste environ 45 minutes pour récupérer mon bagage, le réenregistrer, passer la sécurité, et trouver ma porte d'embarquement dans un aéroport inconnu. 


Récupération du bagage: ok en 30secondes
Réenregistrement: dépôt sur un tapis roulant qui paye pas de mine: ok en 1minute (la valise est trop lourde)
Passage de la sécurité: 35minutes au moins


Par chance, Washington a mis à disposition le WIFI gratuitement dans tout l'aéroport, là, je demande à mon colloc si l'avion est à l'heure, à ce qu'il parait, il y aurait des retards à cause du mauvais temps... Décollage prévu à l'heure, je stresse...
Entre deux, j'envoie quelques messages à ma soeur chérie d'amour, qui ne dort pas encore, pour la tenir au courant de mon voyage.
Allez, je ressors Alphonse de mon sac, l'ordi, l'Ipad, j'enlève mes bottes, et je repasse dans la machine bizarre, avec les bras tendu. RAS
Du coup, c'est reparti, je range tout à l'arrache. Je cours dans l'aéroport avec les trucs qui dépassent du sac, et les bottes ouvertes sur le côté.

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